Initiation aux Fées

C’est donc dimanche 12 avril à 14h que nous nous retrouvons sur le parking des Fées. Notre petite équipe est la suivante : Marc et Yves, Sandy, Anthony et moi-même.

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Nous nous préparons rapidement et arrivons dans le réseau. C’est la première découverte des Fées pour Anthony et Sandy et ils semblent de suite envoûtés par cette ambiance si spéciale de la spéléo. Nous découvrons une Souricière nettoyée, ce qui ne présage rien de bon pour notre cité, construite lors du minage au Chirocoptère! Cela ne nous étonne pas, au vu des images du Millepattes d’il y a quelques semaines… Nous continuons notre avancée avant de s’équiper en aquatique à la salle des Intestins. Le passage avant le lac est sec; quelques mètres en plus au chaud pour les porteurs de néoprène! Les Fruits Défendus se montrent d’une profondeur raisonnable, ce qui permettra de ne pas craindre la prise d’eau en pontonnière.

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Le Chaudron est quant à lui quasiment vide, l’initiation à l’apnée sera pour une prochaine fois, chaque chose en son temps. Après son passage, nous découvrons de la mousse de crue sur les parois et perdons définitivement espoir pour notre cité. Arrivée au Chirocoptère et effectivement, nous ne découvrons que des ruines. A rebâtir lors d’un prochain minage ?

La Joker est moins pleine que lors des dernières sorties et c’est rapidement que nous atteignons les Fossiles. Nous tentons de trouver quelques ossements, mais rien de bien concluant, nous n’avons pas l’œil expert du Millepattes! Nous avalons notre repas – transporté dans un bocal en verre pour Anthony, un exploit qu’il soit encore entier! – avant de faire un petit aller-retour aux Chercheurs d’Or. Le niveau d’eau y est aussi moins profond que la dernière fois, mais le débit reste assourdissant. La fatigue et le froid commençant à se faire sentir, nous prenons le chemin du retour. Découverte d’une araignée chèvre peu après le Pont de Glaise, était-elle enfouie dans un des kits ? Impossible à savoir, mais sa durée de vie à cet endroit du réseau risque bien d’être compromise.

Nous manquons la mousse de crue et la photo qui allait avec… Le reste du chemin se passe sans encombre et arrivée à la sortie, je suis chargée de fermer la porte. Pas évident, mais avec un peu de volonté et les conseils des frères Bullot je finis par y arriver! Nous sommes accueillis par une douce odeur de forêt et une tiédeur appréciable. Les sorties printanières ont cet avantage indéniable sur les hivernales!

Après déséquipement, notre envie de pizza se trouve mise à mal par la fermeture des divers restaurants de la région. Nous remettons cela à une prochaine fois, cela nous donnera un bon prétexte pour se renfoncer au frais lors d’une chaude journée de printemps 😉

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